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A lire : pages en vrac – présentation des corpus

« En vrac », certes… mais qui s’organisent autour de mouvements littéraires, de genres ou de registres, et se proposent d’aborder des thèmes essentiels du patrimoine littéraire. Pour découvrir leur analyse, rendez-vous dans les articles qui leur correspondent ou explorez la catégorie « corpus ».

Masques Comment masquer pour démasquer ? Ou quand les écrivains font tomber les masques en recourant à toutes les stratégies que leur offrent des genres littéraires aussi variés que l’apologue, le théâtre, le portrait, l’essai… Dénoncer leurs contemporains, dévoiler l’hypocrisie de leur époque, rechercher inlassablement la transparence des coeurs, il s’agit toujours d’allier « plaire » et « instruire », de capter l’attention d’un lecteur, lui-même porteur de ces masques, pour les lui arracher,  insidieusement… (rechercher dans les Articles à partir de « Comment masquer pour démasquer? » , ou dans la catégorie « Corpus »)

Fonctions du voyage  Fonctions du voyage : découvertes et remises en cause… Pourquoi voyager ? Depuis Hérodote, dans l’antiquité grecque, bien des récits de voyage nous ont été transmis, qui présentent une image contrastée du voyage et du voyageur. Tantôt, le voyage est source de découvertes et permet de combattre les préjugés, tantôt il sert d’arme à la satire et remet en cause nos propres comportements… Du voyage réel au voyage imaginaire, ce corpus nous interroge… (rechercher dans les Articles à partir de « Fonctions du voyage : découvertes et remises en cause » , ou dans la catégorie « Corpus »)

La représentation dramatique  La représentation des injustices au théâtre Le théâtre « re-présente », c’est-à-dire qu’il montre sur la scène les réalités de notre monde, mais éclairées d’une lumière plus vive. Il peut ainsi dénoncer les rapports que l’homme entretient avec les puissants : serviteurs face à leurs maîtres, sujets face au pouvoir dictatorial, femmes face à la prédominance masculine… autant de relations que le théâtre dépeint pour faire rire, ou pour indigner son public. Les auteurs dramatiques n’ont-ils pas d’ailleurs bien souvent été censurés, preuve du pouvoir que l’on a pu reconnaître au théâtre quand il se fait « tribune »  ou, encore mieux, « tribunal » ?  (rechercher dans les Articles à partir de « La représentation des injustices au théâtre », ou dans la catégorie « Corpus »)

Rubens, allégorie de la guerre Dénoncer la guerre  Déjà sous la Monarchie absolue, de nombreux écrivains utilisent leur plume comme une arme au service du pacifisme : la France a été, notamment, à la fin du règne de Louis XIV, accablée par de multiples guerres. Avec les philosophes des Lumières, les attaques se font plus vives, malgré les ruses auxquelles oblige la censure. Elles reprennent avec encore plus d’intensité au XX° siècle, en raison des conflits qui deviennent mondiaux. Or, si les guerres détruisent encore aujourd’hui bien des pays, la construction de l’union européenne  a limité les conflits sur ce territoire. Quel rôle les écrivains ont-ils donc pu jouer dans la réflexion critique, et comment ont-ils tenté de faire évoluer les mentalités? (rechercher dans les Articles à partir de « Dénoncer la guerre », ou dans la catégorie « Corpus »)

La grande ville Images de la ville A travers des genres littéraires aussi variés que la satire, l’utopie, le roman, la poésie… les écrivains ont voulu tantôt critiquer, tantôt louer la ville, notamment Paris. Ville fascinante, mais aussi ville repoussante, lieu de tous les excès, mais aussi de tous les élans d’espoir ! N’est-ce pas à la ville que se côtoient les artistes, et ne reflète-t-elle pas tous les changements des sociétés et des moeurs?  Du Paris de Louis XIV à celui des temps modernes, comment les écrivains ont-ils représenté la ville? (rechercher dans les Articles à partir de « Images de la ville », ou dans la catégorie « Corpus »)

Nattier, Mme. de Sombreval représentée en Erato La poésie lyrique : chanter l’amour Dans la mythologie antique de l’union de Zeus et de Mnémosyne (la Mémoire)  naissent les 9 Muses. Elles forment un chœur, conduit par Apollon qui offrit, selon la tradition, une lyre au premier des poètes, Orphée, amant désespéré de son épouse Eurydice, à jamais disparue. Parmi les muses, on trouve Erato, dont le nom dérive d’Eros, pour la poésie lyrique. Ainsi, dès l’origine en Occident, la poésie se trouve reliée au chant amoureux, souvent associée également au rêve d’un amour idéal. Entre douleur et plainte, souvent, mais aussi avec enthousiasme et élan, comment les poètes chantent-ils leur amour et l’être aimé ? (rechercher dans les Articles à partir de « La poésie lyrique : chanter l’amour »ou dans la catégorie « Corpus »)

Le roman, polymorphe  Le roman, miroir de son temps  Partager un moment avec ses personnages, avec la possibilité, souvent, de les découvrir de l’intérieur, de suivre les méandres de leurs sentiments, d’accompagner leurs pas… tout en restant à l’abri des risques qu’ils peuvent prendre, n’est-ce pas le privilège que nous offre la lecture d’un roman ? Mais ce partage nous conduit également à tourner les pages d’un immense livre d’histoire prenant vie sous nos yeux à travers les héros et leurs aventures. Même quand il choisit délibérément l’irrréalité, le romancier ne nous propose-t-il pas, en effet, de visiter une époque, de découvrir les valeurs qu’elle a portées, les questions qu’elle s’est posées et les réponses qu’elle a proposées ? (rechercher dans les Articles à partir de « Le roman, miroir de son temps », ou dans la catégorie « Corpus »)

Les femmes pendant la Révolution de 1789 Quelles luttes pour les femmes ? Quand, dans les salons mondains du XVII°siècle, les Précieuses commencent à revendiquer pour les femmes le droit de participer pleinement à la vie intellectuelle, que de critiques – et même de rires, si l’on en croit les comédies de Molière ! Mais elles ouvrent la route à celles qu’Alexandre Dumas nommera – et pour lui le terme est péjoratif ! – des féministes… Bien sûr, leurs luttes constituent un relevé de toutes les violences qu’elles ont subies, de l’éducation à la religion, de la vie politique à l’économie. Mais  ne nous rappellent-elles pas aussi qu’aucun droit n’est jamais acquis, et ne nous amènent-elles pas à nous interroger sur les enjeux du développement actuel, qui pose de nouvelles questions ? (rechercher dans les Articles à partir de « Quelles luttes pour les femmes », ou dans la catégorie « Corpus ») 

A lire : pages en vrac - présentation des corpus dans Littérature dinerdephilosophehubert177273.vignette Le XVIII° siècle en quête du bonheur Le XVIII° siècle, avec ses « philosophes », remet en cause tous les fondements de la société et de la vie politique : c’est l’avènement de l’esprit critique, qui vise à la fois à démasquer les préjugés et à prôner de nouveaux idéaux, que l’on retrouvera dans la devise de la République et dans la « Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen », la liberté, l’égalité et  la fraternité. Diderot écrira alors : « Il n’y a qu’un devoir, c’est d’être heureux. » De ce fait, s’offre à l’écrivain une nouvelle mission : proposer à l’homme une voie propre à le mener à plus de bonheur. Mais n’en existe-t-il qu’une ? Les clés du bonheur peuvent-elles être rendues universelles ?  (rechercher dans les Articles à partir de « Le XVIII° siècle en quête du bonheur », ou dans la catégorie « Corpus ») 

friedrichlune1822.vignette dans Littérature « Paysages et états d’âme »  Dès son origine, en Occident l’antiquité grecque, la poésie a associé l’expression des sentiments à l’environnement dans lequel se trouvait le poète. Ce fut d’abord la poésie bucolique, observant la vie rurale, puis la poésie élégiaque : en plongeant dans une douloureuse solitude, l’écrivain, tel le poète latin, Ovide, dans Les Tristes, établissait alors un lien entre le paysage qui l’entourait, et les sentiments qu’il ressentait. En France, c’est surtout la période romantique, dans son rejet de la société et son repli du poète sur soi-même, qui a renouvelé cette relation entre un macrocosme, le paysage, et un microcosme, la vie intérieure. Quelles formes peut prendre cet écho intime ? (en cours d’élaboration)

Un voyage vers un ailleurs La poésie : un voyage vers un  »ailleurs » Le poète « ne peut créer », écrit Platon dans Ion, « avant de sentir l’inspiration, d’être hors de lui ». Tout se passerait donc comme si le poète, pour composer, devait accomplir un voyage hors de lui-même, oublier le monde qui l’entoure, peut-être s’oublier lui-même, pour partir dans un « ailleurs », composé de ses rêves – peut-être de ses cauchemars – et re-créer ainsi une autre réalité que cette, ordinaire, qui nous environne. Lire un poème, n’est-ce pas alors entreprendre de le suivre, au fil des mots, dans ce voyage mystérieux ?  (rechercher dans les Articles à partir de « La poésie : un voyage vers un ‘ailleurs’ « , ou dans la catégorie « Corpus ») 

 


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